Retrouvez nos expositions virtuelles dans NuBIS, la bibliothèque numérique de la BIS !
NuBIS accueille aussi des expositions invitées. Si vous souhaitez concevoir une exposition virtuelle qui sera hébergée sur NuBIS, soumettez-nous votre proposition ! Veuillez consultez ici le guide détaillant les modalités pratiques.
Découvrir l’exposition virtuelle
Cette exposition vous propose de découvrir les évolutions institutionnelles, matérielles et intellectuelles du doctorat tout au long d’un siècle crucial dans l’histoire de l’enseignement en général et de ce grade en particulier. Réalisée dans le cadre du projet « ès lettres », soutenu par le GIS CollEx-Persée, elle se base notamment sur la collection quasi exhaustive de thèses françaises de doctorat ès lettres conservée par la BIS.
L’exposition a été mise en place sous le commissariat scientifique de Pierre Verschueren, maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Franche-Comté et co-porteur du projet « ès lettres ». Sa réalisation technique a été assurée par Gilles Clément, ingénieur informaticien à la BIS.
Cette exposition est richement illustrée, grâce aux numérisations réalisées gracieusement par plusieurs institutions que la BIS remercie chaleureusement, notamment la Bibliothèque nationale de France, les Archives nationales, la Bibliothèque de l’Institut de France et la Bibliothèque municipale de Nantes.
Vos questions, commentaires ou suggestions sont les bienvenues !
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
Laissez-vous entraîner de la route du Tokaido aux villes portuaires de Yokohama et Nagasaki à travers une sélection de cartes japonaises des ères Edo (1615-1868) et Meiji (1868-1912) issues des fonds de la Réserve de la BIS. Vous découvrirez l’une des plus anciennes traditions cartographiques du continent asiatique, ainsi que ses évolutions au gré des rapports d’influences réciproques entre Orient et Occident, mêlés de méfiance, de curiosité et de fascination. Ce parcours virtuel s’inscrit dans le prolongement une exposition présentée dans les locaux de la BIS sous la direction scientifique de Fabrice Argounès et Pierre Singaravélou.
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
1637, la publication du Discours de la méthode marque un tournant dans l’évolution de la pensée occidentale. Comme quelques rares événements où se condense l’histoire de la philosophie, et l’histoire en général, la première édition, en français, du Discours de la méthode fait date et devient symboliquement le repère du basculement dans la modernité.
Riche de sa collection d’éditions originales, la BIS vous invite par ce parcours illustré et commenté à revenir à 1637 et, vous aussi, à prendre date.
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
Sir Kenelm Digby (1603-1665), philosophe et diplomate anglais, se trouve, entre 1630 et 1660, au centre d’un vaste réseau de la République des Lettres européenne. Esprit inclassable, il offre une synthèse originale des idées philosophiques, scientifiques et religieuses de son temps, dans le sillage des révolutions intellectuelles et scientifiques contemporaines. Il témoigne d’un moment particulier de la philosophie européenne, marqué par le syncrétisme et la tentative de synthétiser les apports des nouvelles philosophies : sa pensée est ainsi marquée autant par son intérêt pour les thèses d’Aristote ou de Paracelse que par la nouvelle faveur dont jouissent l’atomisme, le mécanisme, l’essor des mathématiques et surtout le cartésianisme.
Cette exposition virtuelle met à l’honneur ce passeur d’idées et de livres, dont la Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne, qui réunit le plus grand nombre d’ouvrages ayant appartenu à Digby au monde, conserve une partie des collections qu’il avait amassées à Paris.
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
La Bibliothèque de l’Institut de Géographie conserve un corpus d’archives relatives à Emmanuel de Martonne qui compte vingt-quatre carnets de terrain. Entièrement numérisée et mise en ligne, cette collection est à découvrir sur NuBIS.
Parmi les vingt-quatre carnets, les carnets 13 et 14 qui sont consacrés à la Roumanie, terrain de prédilection de Martonne, occupent une place particulière au sein du corpus. Précieux témoins de l’activité du géographe, ils donnent à voir la Roumanie d’Emmanuel de Martonne, sa façon de l’explorer, d’en tirer des observations scientifiques et de construire ses publications.
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
Les Métamorphoses d’Ovide forment un étonnant poème, une histoire mythologique universelle, qui va de la création du monde jusqu’à la naissance du poète (en 43 av. J.-C.). Elles contient au passage quelque deux cent cinquante histoires de métamorphoses légendaires, de dieux amoureux changés en animaux insolites, de nymphes ou de jeunes gens devenus arbres et fleurs, d’artistes punis pour leur impiété et leur talent, qui n’ont cessé d’inspirer les écrivains et les artistes de toute époque.
Ce sont quelques-unes des petites et grandes mains de la postérité ovidienne, tout récemment marquée par la belle traduction de Marie Cosnay, invitée de la BIS en 2018, que cette exposition souhaite faire entrevoir, en valorisant particulièrement le fonds ancien de la BIS et la réception contemporaine.
Découvrir l’exposition virtuelle #BIS_2020
Une exposition virtuelle sur Marie Peyrat (1840-1923), fille de l’homme de lettres Alphonse Peyrat, devenue marquise par son mariage, est issue d’une famille profondément anticléricale et républicaine. Investie dans les milieux universitaires, politiques et culturels, la marquise compte parmi ses correspondants des figures notables de la IIIe République. Connue pour son mécénat généreux, tout particulièrement en direction de l’enseignement supérieur et de la recherche, elle a été une bienfaitrice passionnée.
Cette exposition virtuelle se veut une porte d’entrée dans la correspondance passive conservée à la bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne et numérisée en 2019 grâce au soutien du GIS CollEx-Persée
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Cette exposition virtuelle parle de Pierre de la Ramée (1515-1572), dit Ramus, qui a vécu et enseigné à Paris, dans la seconde moitié du XVIe siècle, en qualité de membre du collège des professeurs royaux (le futur Collège de France). Elle aborde aussi sa réforme générale de toutes les disciplines enseignées à l’Université, fondée sur l’examen critique de l’héritage antique grec et latin (en particulier d’Aristote), la rédaction d’un nouvel organon articulant dialectique et rhétorique, et la rédaction d’une nouvelle encyclopédie. La Saint Barthélemy a mis fin de manière tragique à son entreprise, mais non à la postérité du ramisme.
La présente exposition virtuelle met en valeur les riches collections de la BIS qui témoignent de l’œuvre de Ramus et de sa postérité. L’exposition retient, parmi les nombreuses éditions souvent présentes en plusieurs exemplaires à la BIS, les plus anciennes et les plus significatives, de préférence aux rééditions qui se sont multipliées après l’assassinat de Ramus.
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À l’occasion du centenaire de la disparition de Paul Vidal de la Blache (1845-1918) et de la tenue d’un colloque sur « Le savant et le savoir au prisme des écrits personnels. Carnets, correspondances, journaux de géographes » le 10 et 11 décembre 2018, la BIS et le laboratoire Géographie-Cités rendent hommage à celui qui fit de la Géographie une discipline scientifique à part entière.
Cette exposition virtuelle vous permet de découvrir l’homme et le scientifique voyageur à travers les pages de ses trente-trois carnets. Compagnons de voyage et outils de travail, ces carnets sont de précieux témoins de l’activité du géographe : on y trouve observations, croquis, notes, brouillons de ses publications…
Conjointement, la Bibliothèque Ulm-Jourdan de l’École normale supérieure organise du 3 décembre 2018 au 31 janvier 2019 une exposition dans ses locaux consacrée au fondateur de l’école française de géographie, prolongée par une exposition virtuelle : celle-ci met notamment en lumière les liens forts de Vidal de la Blache avec l’École normale, où il exerça pendant plus de 25 années.
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Un échantillon du fonds exceptionnel de plus de 1200 cartes postales de la Première Guerre mondiale, acquis en 2017 lors de la vente de la collection Parent de Curzon. Cette exposition virtuelle prolonge l’exposition présentée dans les murs de la BIS, du 12 novembre 2018 au 16 janvier 2019.
En questionnant la place des cartes postales dans la « culture de guerre », ce parcours s’intéresse à la fois aux illustrations et aux pratiques épistolaires et cartophiles qui occupent une place primordiale pendant le premier conflit mondial. De la caricature au dessin patriotique, de la gravure à l’aquarelle en passant par les cartes à système, le contexte de la Première Guerre mondiale est propice à une émulation créatrice et à la multiplication des usages du format pourtant normalisé de la carte postale.
La collection Parent de Curzon, dans son ensemble, fait l’objet entre 2018 et 2020 d’un projet de recherche et de valorisation porté par l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, le Centre d’histoire du XIXe siècle, l’IDHES et la BIS.
L’IDHES et le CHRXIX organisent à ce titre un cycle de journées d’étude autour des cartes postales de la Grande Guerre.
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Le parcours exceptionnel de Marie Curie dans le temps long d’un lent mouvement de féminisation de l’université française, les principales étapes de cette évolution et les trajectoires de quelques autres figures pionnières.
Cette exposition virtuelle prolonge l’exposition organisée à la BIS en 2018.
Les documents proposés sont issus des collections et des fonds d’archives de la BIS.